La Banque a été créée conformément à la
décision du sixième sommet arabe tenu
à Alger le 28 novembre 1973.

Faits et chiffres

Portefeuille global de la BADEA

§ Entre 1974 et 2023, la Banque a financé 1 810 opérations en Afrique subsaharienne, pour une valeur totale de plus de 12 milliards de dollars américains. Parmi ces opérations, 450 étaient liées à l’investissement dans les infrastructures pour l’inclusion, l’industrialisation et l’innovation, pour une valeur totale de 5 000 millions de dollars américains. 263 opérations axées sur le développement de chaînes de valeur agricoles pour l’autonomisation, pour une valeur totale de 1 900 millions de dollars USD. 120 opérations axées sur la promotion du commerce et du développement du secteur privé pour parvenir à la croissance et à la création d’emplois, pour une valeur totale de 4 586 millions de dollars américains. 38 opérations axées sur les PME et le développement de l’entrepreneuriat, pour une valeur totale de 375 millions de dollars américains. Enfin, 939 opérations ont porté sur le développement des capacités, pour une valeur totale de 260 millions de dollars.

§ La Banque Arabe pour le Développement Economique en Afrique a joué un rôle majeur dans la facilitation du développement en Afrique. La Banque a participé à de nombreux projets dans les domaines des infrastructures, de l’éducation, de la santé et de la durabilité environnementale. Elle a contribué à créer un avenir plus respectueux de l’environnement en plantant des millions d’arbres, en construisant 12 000 kilomètres de routes résistantes au climat, en brisant l’isolement des zones enclavées et en améliorant les opportunités économiques. En outre, la Banque a financé plus de 290 écoles, universités et 220 hôpitaux, améliorant ainsi l’accès à l’éducation et aux soins de santé. Plus de 160 experts arabes ont facilité le transfert d’expertise, l’échange de connaissances et l’autonomisation des institutions africaines. La Banque a également financé plus de 130 projets d’eau potable, garantissant ainsi aux communautés l’accès aux produits de première nécessité. En outre, la Banque a contribué à renforcer la connectivité et les capacités commerciales en Afrique en construisant plus de 40 aéroports et en promouvant l’utilisation durable de l’énergie en construisant plus de 15 barrages hydro-électriques propres. Ce ne sont là que quelques exemples des efforts déployés par la Banque pour avoir un impact positif sur le développement en Afrique.

 

 

Développement des capacités – un aperçu du secteur public

§ Plus de 1 000 subventions non remboursables ont été approuvées, pour un coût total de plus de 240 millions de dollars, et 10 millions de dollars sont alloués chaque année aux subventions non remboursables.

§ A travers les axes stratégiques 2030, la Banque a pu, grâce à des subventions de développement des capacités, financer 8% des petites et moyennes entreprises et le secteur de l’entrepreneuriat, 57% du secteur des infrastructures, 6% du secteur privé et commercial et 29% du secteur agricole.

 

Un aperçu du secteur privé et du financement du commerce

§ La Banque Arabe pour le Développement Economique en Afrique a été un acteur majeur de la croissance de l’Afrique grâce à son soutien au secteur privé et au commerce. Depuis 2015 seulement, la Banque a injecté la somme colossale de 4 milliards de dollars dans 117 transactions privées et commerciales.

Cet engagement comprend 1,2 milliard de dollars pour les initiatives du secteur privé et 2,8 milliards de dollars pour l’approbation du financement du commerce. Dans une perspective plus large, de 1975 à 2023, le secteur privé et le guichet commercial de la Banque ont financé divers secteurs à travers le continent, avec 64 % alloués au secteur privé et au financement du commerce, 18 % aux chaînes de valeur agricoles et 11 % au développement des infrastructures. et 7 % ciblaient explicitement l’autonomisation des petites et moyennes entreprises. Ces chiffres soulignent l’engagement de la Banque à promouvoir une économie africaine forte et diversifiée conformément aux piliers de la stratégie 2030 de la Banque.

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